jeudi 14 mai 2009
[To be clicked or not to be clicked ?]
Sur la piste, l'usage des pédales automatiques (réservées en compétition aux catégories les plus aguerries) fait débat.
To be clicked or not to be clicked ?
Comme un "bleu" (que je suis), j'ai eu l'audace de m'y essayer lors de mon tout dernier cours en date (mardi 12 mai), c'est à dire quelques semaines seulement après ma découverte du BMX et de la discipline "reine" de la Race !
A bien y regarder, il est vrai que seules quelques "pointures" du club pratiquent avec "click". Il va sans dire que leur niveau est tout autre que le mien qui peine à décoller...
Alors, une provocation ou une inconscience de ma part ?
Ni l'un ni l'autre. Tout simplement, une culture, des gènes mêmes. Ceux de mon enfance "Vélo Vert" du tout début des années 90 et de l'arrivée des "pédales autos" dans le monde en explosion du VTT. Après quelques chutes (sans gravité et souvent à l'arrêt !) pendant ma période de "rodage" du millésime 94 de Shimano, je n'ai plus quitté les pédales automatiques tant pour le "off-Road" (avec mon bon vieux SUNN 5003R équipé de pédales Shimano SPD) que le "on-Road" (avec mon récent Lapierre Scandium équipé des incontournables pédales LOOK).
Loin de me prendre pour l'As des As, il était donc tout naturel pour moi de me "greffer" à mon GT Cruiser au moyen de pédales automatiques.
Coup d'essai et coup de maître puisque les tours de piste "sans pédaler" sont d'ailleurs devenus une formalité ! C'est fou comme l'usage de ces pédales vous permet de faire corps avec le vélo et de gagner ainsi en dynamique et donc en inertie.
Pour les starts, c'est une toute autre histoire, d'autant que je ne maîtrise pas encore parfaitement l'équilibre nécessaire avec pédales plates...
Action, réaction :
Sous le conseil avisé des coachs, retour donc aux pédales plates pour les cours du mardi soir (histoire d'apprendre correctement et progressivement la technique) et sessions libres en pédales autos le vendredi soir...
To be clicked or not to be clicked ?
Une affaire à suivre...