Tel Diego, Danny semble particulièrement libre dans sa tête, sur ses barreaux (1) au guidon de son vélo de trial.
Produit par Inspired Bicycles, cette vidéo nous montre un Danny MacAskill évoluant tout en poésie et en souplesse dans un univers urbain qui l'inspire. C'est beau une ville le jour, c'est beau une ville la nuit (2) à le regarder évoluer tout en grâce, tel un ange à qui l'on aurait prêté un vélo pour voler un peu plus haut parmi les humains.
A notre tour d'observer d'en bas "Les ailes du désir"(3)...
> Accès direct aux 5 minutes de vidéo par simple click sur le titre du post ou à l'adresse URL ci-dessous :
http://www.youtube.com/watch?v=Z19zFlPah-o
(1) Diego - une chanson de Michel Berger - Album "Voyou" - 1983
(2) C'est beau une ville la nuit - un livre (1989), un album (2002) et un film (2006) de Richard Bohringer
(3) Les ailes du désir - un film de Wim Wenders - 1987
mercredi 22 avril 2009
vendredi 10 avril 2009
[Vélo Vert]
La révolution visuelle du film de MTB est annoncée pour l'automne 2009 avec la sortie programmée de "LIFE CYCLES", un film tourné en Super HD et produit par le photographe Derek Frankowski et le réalisateur Ryan Gibb.
Le TEASER (tout droit sorti de l'univers visuel et photographique de "The Straight Story" de David Lynch - 1999) est visualisable à l'adresse URL ci-dessous :
http://www.lifecyclesfilm.com/visuals/teaser/versatile
ou sur simple click sur le titre du post [Vélo Vert], juste au-dessus de la photo.
Dieu que c'est beau !
Tous aux champs...l'été arrive et vivement l'automne avec l'espoir d'une sortie dans les salles françaises.
Source : Big Bike (FreerideDirtStreetRacing MAGAZINE) - N°46 Février-Mars 09 - Rubrique FURIEUX en page 82
mercredi 8 avril 2009
[G20]
Un peu plus tard, après un nouveau tour de piste emmené par l’extraterrestre et très fluide coach (Julien Bourguignon) pour rallier la pause boisson, il s’agit « d’enrouler » la troisième ligne pour finir en beauté l’entraînement. Chacun des collectors s’y emploie à son niveau, dans son style plus ou moins académique, avec en prime trois ou quatre énergumènes de haut vol parmi lesquels le très vert (pour le vélo, les gants mais aussi le Fiat Fiorino !) David Mestre qui « envoie du lourd »…
Projecteurs allumés, les moonracers d’un soir discutent « au sommet » puis s’envolent de bosses en bosses sous un
« clair de Lune » printanier en guise de feu d’artifice.
21H00, la piste retrouve son calme. On ferme les volets du mobil home, on range les vélos et casques dans les voitures. Une 2CV blanche improbable s’échappe au son du klaxon, les vélos de la mère et du fils solidement arrimés sur le coffre arrière.
Clap de fin d’une première chronique d’une session annoncée sur un
« G20 » Collector avec des images et quelques échanges de passionnés plein la tête.
« C’est beau une ville la nuit », c’est beau une piste de race la nuit.
Vivement mardi prochain pour une nouvelle et joyeuse confusion des styles !
NB : Les chroniques [Moonracers] et [G20] sont également consultables en rubrique 06 LES NEWS du site du club :
www.bmx-cavaillon.fr
[Moonracers]
Hier au soir, mardi 7 avril 2009, il y avait foule pour la session d’entraînement hebdomadaire des collectors sur la piste du BMX’club CAVAILLON ! Peut-être, était-ce l’effet de la pleine Lune ?
Pour l’apprenti racer que je suis et accessoirement votre nouveau chroniqueur, l’effectif et l’animation de ce début de soirée à l’heure d’été me changeaient radicalement de l’ambiance plus intimiste de ma première séance d’entraînement avec le coach Julien Bourguignon du 24 mars dernier (nous n’étions ce soir là que cinq courageux à braver un mistral déchaîné)…
Hier au soir donc, mardi 7 avril 2009, Madame la Présidente, Edith André, avait elle aussi fait le déplacement pour participer, que dis-je, pour superviser depuis le mobil home du paddock cet entraînement des « Anciens » qui, comme d’habitude, commence toujours dans la plus grande confusion.
Confusion tout d’abord côté paddock, avec une arrivée au compte-gouttes des protagonistes sur le parking.
Confusion ensuite dans l’entrée en scène, pardon en piste, avec un joyeux et convivial mélange des genres et des âges : ultimes runs aériens à donf en guise de finish pour les uns depuis la grille et premiers tours « sans pédaler » pour les autres depuis son pied…
Confusion enfin concernant l’identité du coach du soir jusqu’à sa prise en main du cours, à coups de semonce virils du type « Oh ! Tous au départ ! ».
Aux environs de 20H00, avec cet ordre fermement exprimé d’une voix caverneuse et puissante, je comprends alors que Julien (Bourguignon) vient de prendre en mains le cours du soir, dans la foulée de son précédent cours tardivement clos. Il faut bien reconnaître que l’encadrement du Groupe 6 bis Collector est à l’évidence moins fun et donc moins motivant que celui des djeunces « volants » du Groupe 5 Avenir !
A titre tout à fait personnel, je me délecte de cette confusion générale, si appréciable après une journée de rigueur souvent par trop normée dans l’univers professionnel…
Un débat musclé s’engage à ce sujet sur ma droite entre deux moonracers volants. Ponctualité et qualité d’encadrement, les avis divergent. Je n’y prête pas attention trop content d’être libre et novice, Luke la Main froide quoi, celui-là même qui ne rêve que d’évasion… Trop tard et trop bête de se prendre la tête car après tout, on roule et c’est cela l’important.
Le cours commence donc - et se poursuit - par une succession d’enchaînements « en enroulé » des bosses de la première ligne. Côté départ depuis le haut de la rampe, grille baissée, la confusion la plus totale perdure avec des starts personnels au gré de sa reprise de souffle. Certains sautent directement la première ligne quand d’autres passent par la planche histoire de s’essayer à l’enroulé sans risque ! A chaque passage, quelques mots judicieux d’analyse corrective, d’encouragement, voire de félicitations du coach Julien. Pour ma part, il me faut me mettre plus en arrière et tenir d’un seul doigt (et non deux – le bon vieux réflexe de la descente VTT !) l’unique levier de frein. Le passage par la planche s’avère formateur pour moi qui redoute la chute à mon âge avancé…
Sans nul doute et en référence à une chronique matinale de l’humoriste Stéphane Guillon (relative à Eric Besson, l’invité de Nicolas Demorand dans sa matinale sur France Inter du 8 avril 2009), « pour faire » du BMX « il faut des corones »…
mardi 7 avril 2009
[B52]
[Costume de racer]
Il est d'usage de dire que "l'habit ne fait pas le moine".
Pour autant, le costume fait l'apprenti racer !
Et une panoplie de sport de plus pour moi avec cette composition personnelle JT USA et PUMA complétée d'un casque carbone B52 et de protections PROTECH.
Pour la petite histoire et parce que je ne suis pas peu fier de pouvoir toujours le porter (quinze ans plus tard !), le pantalon JT USA - frappé du numéro 22 (comme la date de parution du magazine Vélo Vert) côté face et des lettres GTO (comme mon ancien team du GTO Racing - vs. les 24 heures VTT du Raid du Sel en 1993 entre Menton et Tende) côté pile - m'avait été ramené directement de San Diego (Californie) par Jérôme Coste (alias "Pépère"), aujourd'hui art-designer de renom et fondateur des Ateliers Ruby (www.ateliersruby.com).
[Cream]
Nouvelle découverte au hasard de mes pérégrinations en maison de la presse...
"Cream", l'international bmx lifestyle magazine dont le nom semble tout doit emprunté au tube éponyme de la pop star des années 80 Prince !
Dans ce superbe et vintage N°32 daté mars-avril 09, la rédaction annonce la prochaine sortie d'un numéro hors-série 1999>2009, "le livre best-of de ces 10 ans de BMX lifestyle".
Un numéro collector à traquer dans les kiosques...
[Soul]
[Cruiser contre Cruiser]
En référence au titre d'un film culte du tout début des années 80,
ce sera désormais Royer contre Royer et Free Agent Mini 20" contre GT Power series Cruiser 24"...
Référence et blague à part, la session test du père en date du 24 mars 2009 au soir (et à l'aube de la quarantaine !) est sans appel.
Du fun et encore du fun sur un vélo exceptionnel* certes mais il va sans dire que c'est Royer Junior (alias Dimitri) qui sera toujours, sans nul doute, devant Royer Senior (alias Luc ou Luke la Main froide)...
Comme quoi il n'est jamais trop tard pour s'initier à un sport,
de surcroît quand la motivation première est de pouvoir partager, entre père et fils, une même passion pour le vélo !
Flash-back assuré et fontaine de jouvence appréciée...
* l'un des 20 GT Power Series Cruiser 24" importés cette année en France (pas un de plus !)
[Saines lectures]
Une passion pour le vélo mais aussi une passion pour la presse et l'écriture.
Tout naturellement, histoire de découvrir en profondeur la discipline (la race), ses origines et sa culture pendant les premiers cours et tours de piste de Dimitri, j'ai commencé à parcourir le magazine SOUL BMX experience. Je découvre plus tard la très "lifestyle" revue CREAM dont j'attends avec impatience la très prochaine sortie du numéro collector 1999>2009.
De véritables sources d'inspiration que ces saines lectures, pour moi l'apprenti racer et accessoirement le professionnel de la communication !
[Au commencement]
Au commencement il y a bien sûr une vieille passion pour le vélo.
L'enfance puis l'adolescence se sont passées pour majeure partie les mains sur le guidon et les fesses sur une selle de bicyclette...
D'abord, c'est la route et encore la route à trois vitesses puis à dix du côté de la vallée de Chevreuse.
Ensuite, c'est la tentation du "off-road" avec les premières évasions (en slicks) dans le bois de Verrières. Très vite et parce qu'en quête d'adhérence et de performance, on customise avec le fréro des vélos qui deviendront les premiers mountain-bike courant milieu des années 80, faute de pouvoir acquérir le rêvé BMX Raleigh Gold.
Ces réalisations personnelles sont ensuite remplacées par le Graal, j'ai nommé l'incontournable MBK Aventure, pour tout pionnier du VTT qui se respecte, dans une livrée "en rouge et noir".
Fin des années 80, "L'arme absolue" nous permet d'écumer les GR et single tracks du Queyras. Suivent ensuite des RMS monopoutres concoctés sur le design des référents Sbike par l'ancien bicrosser alsacien Philippe Mathis. Et puis, ce sont pour moi les belles années "Vélo Vert" dans le chalet de l'avenue de la Grotte à Châtou puis Place des Fêtes à Carrières-sur-Seine. Le RMS est alors remplacé par le 1er "VTT de l'année", j'ai nommé le SUNN 5003 R de l'ex bicrosser Max Commençal...
L'histoire aurait pu s'arrêter là s'il n'y avait eu Dimitri, mon fils de sept ans et sa passion naissante pour le vélo et la glisse, tout comme moi, trente ans après.
L'achat d'un BMX Free Agent Mini rouge flambant neuf (http://dimitriskateparktrip.blogspot.com) dans la "vélocité" d'un premier vélo Decathlon Louppio 16", la lecture de quelques magazines spécialisés, l'adhésion à un club local génial et de renom (www.bmx-cavaillon.fr) et c'était parti pour une véritable rencontre, entre père et fils, avec une discipline de deux roues à pédales restant étonnement inconnue pour moi : le BMX Race !
A près de quarante ans, mon parc à vélos allait donc une nouvelle fois s'agrandir...où quand le rêve devient réalité !
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